Mercredi 21 septembre 2016

Départ pour la Corée aujourd'hui à 9h57 à la gare de Strasbourg. Nous allons garer notre voiture au relais-tram à baggersee. Manque de bol, le tarif affiché est de 4,10 €/jour. On se rabat sur le parking du Auchan et on prend le tram. Pratique, pas besoin de chercher une place près de la gare. Une fois à la gare, on se présente au guichet d'Air France qui imprime nos billets et prend en charge les bagages jusqu'à Séoul. Pratique, pas besoin de les récupérer à Charles de Gaulle. On y arrive à 12h01 et on repart à 13h30, pas le temps de prendre un café ou de faire les boutiques, le timing est serré. Il faut passer la douane et surtout la sécurité. Heureusement, ça n'a pas traîné grâce au contrôle automatique de passeport. On scanne son passeport, ça ouvre un sas qui détecte vos empreintes et le tour est joué.
Nous décollons de Paris à 13h30 pour 10h45 de vol, arrivée prévue le lendemain à Séoul a 7h15. Je vous laisse calculer le décalage horaire. A l'entrée de l'avion, un Boeing 777 de 350 places, nous sommes accueillis par une hôtesse en habit traditionnel coréen. Ensuite, nous prenons place au fond de l'avion au milieu sur une rangée de 4. Places de rêve puisque nous n'avons pas de sièges devant nous. En plus, Fabienne n'a personne à côté d'elle, elle s'imagine déjà vautré sur 2 sièges. Manque de bol, la fille au bout de la rangée renverse son café et se décale juste à côté de Fabienne. On sympathise avec elle, c'est une jeune coréenne prénommée Stella qui revient de vacances à Paris. Elle nous apprend que les coréens n'ont que 9 jours de vacances par an et qu'elle bosse le lendemain 2h après l'atterrissage. Vive les 35h en France ! On échange même nos adresses mail et elle nous concocte un programme sur les choses à voir à Séoul et Busan. On ne voit pas le vol passer, entre les repas et les films, nous sommes bien occupés. Même pas le temps de dormir, aïe, ça va piquer demain. Dans l'avion, on trouve quand même le temps de remplir les formalités administratives pour l'entrée en Corée du Sud. L'atterrissage se passe tout en douceur et aucun applaudissement n'accompagne l'exploit du pilot d'Air France. Comme si c'était normal de poser plus de 300 personnes  sur une piste pas plus large qu'une autoroute.

2 commentaires:

  1. Merci pour ce récit :-).
    Hâte de vous suivre pendant votre périple
    Et surtout : j'attends vos commentaires sur le Kimchi

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    1. Pas vraiment fan du kimchi même si on commence à s'y faire puisqu'il est servi à tous les repas

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